Premier jet de la chronique de Metropolis :
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Dans une réalité alternative où la Première Guerre Mondiale n'a jamais eu lieu, la France et l'Allemagne sont unies dans un état nommé Interland. En ce 13 mai 1935, sa capitale Metropolis fête le 23e anniversaire de sa fondation. L'inspecteur de police Gabriel Faune fête lui aussi son 23e anniversaire et se remémorre les événements tragiques qui ont eu lieu un an plus tôt. Un attentat commis par des séparatistes allemands a fait des dizaines de morts et a ouvert une brêche dans le sol de la place principale de Metropolis, mettant au jour trois corps mutilés. Deux enquêtes sont ouvertes. L'inspecteur Faune est chargé de mener l'enquête sur les trois cadavres.
Le policier semble entretenir un lien intime avec la ville. Il faut dire qu'il a été trouvé le jour de la pose de la première pierre de Metropolis, alors qu'il était âgé d'une dizaine de jours. Devenu adulte, il est le seul à percevoir des changements dans la structure même de la ville, tels que l'apparition de la statue d'un mystérieux soldat inconu ou des subsitutions de bâtiments.
L'histoire mêle habilement personnages créés par Serge Lehman, personnages de fiction déjà existants et personnages historiques. En effet, c'est le commissaire Lohmann, héros de M le maudit de Fritz Lang, qui mène l'enquête aux côtés de l'inspecteur Faune. Côté personnages historiques, Aristide Briand et Gustav Streseman sont les dirigeants de l'Interland, comme ils ont dirigé leurs pays respectifs dans le monde réel, puisque l'un a été Président du Conseil en France, l'autre Chancelier en Allemagne. Un certain Docteur F, plus connu sous le nom de Sigmund Freud, pratique dans sa clinique une méthode nommée "psychoanalyse", mais aussi les électrochocs. Winston Churchill fait également une brève apparition.
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Je compte aussi parler de la mise en page (puisque le dessin en lui-même ne m'a pas convaincu) et de la genèse de Metropolis. Est-ce que ce n'est déjà trop long? Est-ce que j'en raconte trop? C'est déjà plus long que les précédentes chroniques, mais on n'a plus la contrainte de la newsletter...
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Dans une réalité alternative où la Première Guerre Mondiale n'a jamais eu lieu, la France et l'Allemagne sont unies dans un état nommé Interland. En ce 13 mai 1935, sa capitale Metropolis fête le 23e anniversaire de sa fondation. L'inspecteur de police Gabriel Faune fête lui aussi son 23e anniversaire et se remémorre les événements tragiques qui ont eu lieu un an plus tôt. Un attentat commis par des séparatistes allemands a fait des dizaines de morts et a ouvert une brêche dans le sol de la place principale de Metropolis, mettant au jour trois corps mutilés. Deux enquêtes sont ouvertes. L'inspecteur Faune est chargé de mener l'enquête sur les trois cadavres.
Le policier semble entretenir un lien intime avec la ville. Il faut dire qu'il a été trouvé le jour de la pose de la première pierre de Metropolis, alors qu'il était âgé d'une dizaine de jours. Devenu adulte, il est le seul à percevoir des changements dans la structure même de la ville, tels que l'apparition de la statue d'un mystérieux soldat inconu ou des subsitutions de bâtiments.
L'histoire mêle habilement personnages créés par Serge Lehman, personnages de fiction déjà existants et personnages historiques. En effet, c'est le commissaire Lohmann, héros de M le maudit de Fritz Lang, qui mène l'enquête aux côtés de l'inspecteur Faune. Côté personnages historiques, Aristide Briand et Gustav Streseman sont les dirigeants de l'Interland, comme ils ont dirigé leurs pays respectifs dans le monde réel, puisque l'un a été Président du Conseil en France, l'autre Chancelier en Allemagne. Un certain Docteur F, plus connu sous le nom de Sigmund Freud, pratique dans sa clinique une méthode nommée "psychoanalyse", mais aussi les électrochocs. Winston Churchill fait également une brève apparition.
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Je compte aussi parler de la mise en page (puisque le dessin en lui-même ne m'a pas convaincu) et de la genèse de Metropolis. Est-ce que ce n'est déjà trop long? Est-ce que j'en raconte trop? C'est déjà plus long que les précédentes chroniques, mais on n'a plus la contrainte de la newsletter...